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Burqa, AM Le Pourhiet: «Pas d’accord avec le Conseil d’Etat»
01/04/2010 12:07
Philippe Cohen – Marianne
Dans une interview donnée à des étudiants, Anne-Marie Le Pourhiet, professeur de droit public à l’Université Rennes 1, s’élève contre l’avis du Conseil d’Etat, aussi ambigu et pervers que celui qu’il avait donné sur le voile en 1989, aboutissant à retarder de cinq ans une législation finalement bien acceptée.

Selon vous la Burqa est-elle une atteinte à la liberté de la femme ou bien rentre telle dans la liberté individuelle de se vêtir ?
Il n’y pas de « liberté de la femme » distincte de celle de l’homme en l’occurrence. C’est la « dignité » de la femme qui a souvent été invoquée par les féministes dans cette
affaire de burqa, mais c’est une notion morale dont la subjectivité est telle qu’il faut la laisser hors du champ juridique. Les jeunes femmes qui se promènent les fesses à l’air avec le string qui dépasse du jean lacéré pourraient aussi se faire reprocher leur indignité et que dire de tous ceux ou celles qui exhibent des piercings monstrueux ?
Il est admis, et je n’en doute absolument pas, que les femmes qui portent la burqa le choisissent délibérément pour la plupart et n’y sont nullement contraintes. Peut-être s’agit-il de faire plaisir à leur homme mais si je porte une jolie robe pour sortir et que je me parfume c’est aussi pour plaire à un homme. On ne va tout de même pas se livrer à des expertises psychologiques pour savoir pourquoi certaines femmes aiment en montrer le plus possible et d’autres le moins. Le discours féministe est parfois bien proche de celui des intégristes.
Il est admis aussi par tous les spécialistes de l’Islam que la burqa n’est absolument pas un signe religieux, il ne s’agit donc pas non plus d’un signe extérieur de croyance, d’une manifestation de foi religieuse. J’y vois plutôt une attitude de revendication identitaire comme le fait de vouloir parler breton dans la vie publique, ou de s’habiller « gothique »…
Au nom de la sécurité et de la protection de l’ordre public, pensez-vous qu’il est utile, voire nécessaire de réglementer ou interdire le port de la burqa ?
Oui, c’est une affaire d’ordre public et rien que cela, laissons tomber la dignité et la liberté religieuse qui ne sont pas en cause. Nous sommes en présence d’une façon « extrême » de se vêtir qui choque la population française d’une part et qui pose un réel problème de sécurité d’autre part. Il y a d’abord un problème de moeurs : ces êtres fantômes qui ressemblent à celui que le feuilleton « Belphégor » décrivait autrefois dans le musée du Louvre, font peur et impressionnent la population française.
Comme on n’admet pas qu’une personne se promène nue dans la rue, notre civilisation ne peut non plus supporter des personnes qui n’existent pas physiquement. Je me suis trouvée récemment dans un grand magasin de Londres à côté de deux individus (qui me dit que ce sont des femmes, puisque même les mains sont gantées ?) en burqa et m’en suis éloignée spontanément parce qu’ils me gênaient et m’indisposaient terriblement.
Je vois dans cette provocation une atteinte à ce que nous appelons traditionnellement les bonnes moeurs. On ne choque pas délibérément une population. Je vous renvoie à la jurisprudence abondante en la matière. On peut prescrire des uniformes à des salariés du secteur public ou privé, interdire de venir travailler en short et tongs, ou de rentrer torse nu ou en slip dans un commerce, on doit aussi, bien sûr, pouvoir interdire une tenue qui choque profondément la majorité des gens d’un pays.
Il y a ensuite un problème d’ordre public matériel manifeste dans la mesure où vous ne pouvez absolument pas identifier ces individus. Le braquage récent d’une banque par deux hommes en burqa qu’un employé a laissé passer dans le sas d’une succursale d’Athis-Mons résume à lui seul la menace évidente pour la sécurité publique que représente cet accoutrement (Le Monde, 9 février 2010). L’employé a sans doute voulu éviter de se faire accuser de discrimination religieuse et a eu la sottise de les faire entrer. Mais rien ne me disait aussi, à Londres, que les femmes (ou hommes) qui m’entouraient ne cachaient pas une arme ou n’avaient pas l’intention de fourrer de la marchandise volée sous leur voile en se disant (2) qu’un agent de sécurité n’oserait pas les fouiller au nom du respect d’Allah. Un député a voulu récemment aussi interdire les capuches sur la tête qui sévissent dans une certaine jeunesse et cela se rapporte également à une question de sécurité évidente. Lorsque vous êtes témoins d’une agression ou d’un accident on vous demande de donner le signalement de l’individu, mais ici vous décrivez quoi ou qui ? Ni le sexe, ni l’âge, ni la corpulence ni la longueur, ni la couleur des cheveux ne peuvent être décrits, ni le front, ni le nez, ni les mains, rien, absolument rien.
Quant à l’idée d’interdire uniquement dans les services publics, c’est bien gentil mais comment nos femmes en burqa vont-elles savoir manier les critères du service public que les étudiants en droit administratif ont déjà du mal à identifier ? Elles ne vont pas trimbaler le Chapus sous leur voile pour savoir si une banque, une poste, un bus ou une infirmerie sont un service public ou pas. Et on ne peut pas non plus les contraindre à s’habiller et se déshabiller toute la journée selon le lieu qu’elles fréquentent. Il est clair qu’une interdiction dans tous les lieux publics (au sens de « ouverts au public ») s’impose.
Les députés ont peur du Conseil constitutionnel ou de la Cour européenne des droits de l’homme mais ces juges n’ont jamais eu à trancher une question de ce type et leur appréciation de la conciliation entre l’ordre et de liberté n’a, en tout état de cause, pas plus de légitimité que celle des représentants de la nation. Un parlement d’une nation souveraine ne peut pas vivre dans la hantise du gouvernement des juges, il doit savoir s’affirmer. Sinon il faudra un référendum.
Aujourd’hui le débat commence en Angleterre, pensez-vous qu’il pourrait prendre la même ampleur?
L’Angleterre a une tradition de primauté de la liberté individuelle et de multiculturalisme débridé qui l’a conduite à laisser se développer une situation qu’elle va regretter. Il y a déjà eu un jugement d’une cour d’appel britannique interdisant d’interdire la burqa … à l’école ! Mais si Westminster décide finalement de légiférer, aucun juge ne peut censurer le parlements souverain outre-manche même sur le fondement de la Convention européenne des droits de l’homme. Le juge peut éventuellement « constater une incompatibilité » avec la Convention, rien de plus. Heureux peuple que celui-là !
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NDA Débat du bouclier fiscal sur BFM-TV
01/04/2010 11:51
NDA sera l’invité d’Alain Marschall et Olivier Truchot dans le cadre de l’émission BFM-Story, mercredi 31 mars de 17h00 à 18h00. Il débattra notamment du bouclier fiscal avec un représentant de l’UMP et du PS.
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Bouclier fiscal : remettre à plat d’urgence la fiscalité des très hauts revenus !
31/03/2010 17:34
Dans un communiqué de presse, DLR renouvelle son hostilité au principe même du bouclier fiscal et appelle, dans un évident souci de justice, à une refonte de la fiscalité des très hauts revenus.
COMMUNIQUE DE PRESSE
Les seules bonnes décisions de l’UMP sont des décisions de recul et de retrait
S’il est évident qu’avec la crise le bouclier fiscal est devenu encore plus choquant, exemptant les plus hauts revenus de tout effort fiscal et social supplémentaire, il n’en reste pas moins que son principe est intrinsèquement injuste.
C’est pourquoi dès juillet 2007 j’ai refusé de voter la disposition aggravant le bouclier fiscal.
En effet, les niches fiscales dont bénéficient quelques centaines de privilégiés - moins de 20000 personnes - leur permettent en réalité de conserver bien plus que 50% de leur revenu...
C’est donc à une remise à plat générale de l’imposition des hauts revenus qu’il faut procéder, par :
la suppression du bouclier fiscal,
l’exclusion du calcul de l’ISF de la résidence principale,
la création d’une nouvelle tranche de l’impôt sur le revenu (à 45%) pour les plus hauts revenus,
le plafonnement des niches fiscales,
l’instauration d’un "plancher fiscal" pour empêcher que les exonérations et les niches fiscales ne dispensent complètement certains contribuables de payer l’impôt sur le revenu.
Mais au-delà du bouclier fiscal, ce qui est inquiétant pour notre pays est que les seules bonnes décisions de l’UMP sont aujourd’hui des décisions de recul et de retrait. Le parti majoritaire ne marque des points qu’en détricotant les réformes qu’il a laborieusement ficelées ces 3 dernières années.
Je me réjouis donc que l’UMP me donne raison et valide les positions de Debout la République : retrait de la taxe carbone ne frappant que les plus modestes, contestation croissante du bouclier fiscal injuste et épargnant les plus privilégiés, euro trop cher, etc.
Néanmoins, il est dommage que ces décisions ne soient prises qu’à rebours de ce que le Président de la République et ses conseillers de palais ont imposé depuis 3 ans.
Il est donc plus que jamais nécessaire que la droite républicaine et sociale continue de faire entendre sa voix grâce à Debout la République, le seul parti gaulliste qui présentera des candidats dans l’ensemble des cantons renouvelables en 2011.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République
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Colonies : Israël sûr de lui et dominateur, encore et toujours
31/03/2010 17:21
Ayant été agressé plusieurs fois, il est normal qu’Israël cherche à se protéger. En revanche, absolument rien ne justifie la politique colonialiste qu’Israël poursuit depuis des décennies. L’administration Obama multiplie les avertissements depuis cet été, pour l’instant, sans conséquence.
Le scandale des colonies
Rien, absolument rien, ne justifie qu’Israël construise des colonies en territoire palestinien. Pourtant, en quelques décennies, l’Etat hébreu a installé plus de deux cent mille colons dans des territoires qui ne lui appartiennent pas. On assiste à une situation surréaliste où Israël envahit petit à petit et de manière pernicieuse la Palestine en la colonisant malgré la désapprobation de toute la communauté internationale, sans pour autant avoir trouvé le moindre argument pour.
Pourtant, une telle politique revient à bloquer le processus de paix au Proche-Orient car comment espérer que les Palestiniens ne réagissent pas devant cette invasion sournoise ? Au final, il faut se demander aujourd’hui si l’Etat Palestinien ne se comporte pas de manière plus responsable que l’Etat hébreu. Le retrait de Gaza a pu donner le change pendant quelques temps, mais la réalité est qu’Israël ne permet pas à la Palestine d’avoir un véritable Etat et de développer son économie.
Israël continue d’étouffer la Palestine et les Palestiniens en mitant leur territoire (voir carte) d’un mur qui s’enfonce largement au-delà de la frontière, de colonies et de routes destinées à relier ces différentes colonies. Pire, en contrôlant l’ensemble des transports, Israël peut du jour au lendemain isoler telle ou telle partie. Bref, l’Etat Palestinien n’est qu’un Etat fantoche, ce qui l’affaiblit et attise légitimement la colère des Palestiniens, dont il est difficile de ne pas comprendre la révolte…
Passer de la parole aux actes
Depuis des décennies, la communauté internationale a laissé faire. Il est vrai que dans un premier temps, Israël a été victime d’agressions de ses voisins, ce qui avait poussé les pays occidentaux à soutenir Tel-Aviv. Mais aujourd’hui, c’est bien Israël qui n’est pas dans son bon droit. L’administration Obama a eu le courage de renverser la politique étasunienne, provoquant des tensions grandissantes entre Israël et les Etats-Unis qui pourraient amener à une révision radicale de la politique de Washington.
Il faut dire qu’il est grand temps que les pays occidentaux utilisent les moyens de pression dont ils disposent pour forcer Israël à changer sa politique. Les belles paroles n’ayant aucune efficacité, il faut mettre Israël devant ses responsabilités. Il n’est pas acceptable que Tel Aviv mine l’Etat Palestinien de la sorte et empêche tout compromis viable entre les deux peuples. Les pays occidentaux doivent recourir à de vraies sanctions (cessation des relations diplomatiques, restrictions économiques).
Le Général de Gaulle avait bien raison quand il parlait d’Israël comme d’un pays « sûr de lui et dominateur ». Sa politique de colonisation est inacceptable et il est plus que temps que les pays occidentaux le lui fassent véritablement sentir.
Laurent Pinsolle
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Qu’est-ce qu’un bon maire ?
31/03/2010 08:13
Nous pensons, peut être benoîtement, qu’un bon Maire est celui qui sait rester en permanence à l’écoute de sa population et de leurs représentants. Un bon maire doit être pédagogue, consensuel, diplomate et neutre. Il doit avoir une vision claire de la gestion communale et savoir se projeter pour l’avenir de sa commune. Bref, un bon maire est l’inverse de ce qui nous a été donné de voir en la personne du 1er magistrat de la commune de Courcelles lez Lens lors des différents conseils municipaux de cette ville depuis quelques temps. L’usure du pouvoir sans doute !
Le comité local
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Commentaire de cimares (01/04/2010 20:24) :
Ne soyez pas trop durs avec Ernest !
C'est, dans l'environnement politique que l'on connait,
certainement un des plus honnêtes et généreux. Alors ses défauts peuvent
lui être facilement pardonnés.
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Commentaire de DLR1 canal historique (01/04/2010 22:04) :
Cher Cimarès, il est vrai que cet homme est parfois attachant, mais il a
ouvert le feu le premier à notre encontre. Nous ne sommes pas du genre à
tendre l'autre joue ! S'il ne souffre aucune opposition, il va
apprendre à nous connaître...
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